La Pulicaire vulgaire – Pulicaria vulgaris est une plante protégée au niveau national également appelée l’Herbe de Saint-Roch. Il s’agit d’une plante pionnière qui trouve sur les bords de Loire les conditions favorables à son développement sur les sables des grèves.
J’ai le plaisir d’avoir une image dans la sélection finale du 9ème Concours Argus Environnement qui a reçu cette année plus de 6 000 images. Il s’agit d’une image du port à bois de Libreville au Gabon d’où partent les grumes exploitées dans la forêt équatoriale, elle est retenue dans la catégorie « La biodiversité sous pression ». Vous pouvez la retrouver parmi les autres gagnantes et voter pour vos images préférées sur le lien suivant : http://www.concoursphotoargus.be
Cette petite Marmotte des Alpes – Marmota marmota a été croisée dans le Parc National de la Vanoise. Contrairement aux apparences, elle ne salue pas un congénère mais se tire de sa torpeur avec de longs étirements.
Si les forêts sont en général plus attrayantes à l’automne, le sujet m’attire néanmoins à toutes les saisons. Ici une vue des Mélèzes depuis le Creux du Van en Suisse lors d’une balade pour tester un nouvel objectif arrivé dans le sac photo…
La pupille en forme de cœur, le ventre jaune, le Sonneur à ventre jaune – Bombina variegata, ce petit crapaud de 5 cm, a tout pour séduire. Il est malheureusement devenu rare un peu partout sur son aire de répartition et le rencontrer n’est pas chose aisée…
Merci à André Maurer pour le coup de main : http://www.andremaurer.com
Petit tour dans le Jura pour rendre visite aux cascades des Tufs.
Le Grèbe à cou noir – Podiceps nigricollis est une espèce relativement rare en France qui trouve en Brenne les conditions favorables à sa reproduction. Il se mêle souvent aux guifettes où il trouve la protection de la colonie. Difficile dans ces conditions de profiter d’un moment d’intimité, c’est donc à l’écart du groupe, sur une plateforme faite de végétaux spécialement à cet effet qu’aura lieu l’accouplement.
Rencontre avec la chenille du Machaon – Papilio machaon, qui malgré un vent fort présent s’est laissé photographier sur sa plante hôte.
Autre espèce d’orchidée rare, l’Orchis des marais – Anacamptis palustris n’était connue que sur un site dans le Loir-et-Cher. La station avait été découverte il y a quelques années et comportait une dizaine de pieds. Mes prospections de l’année n’ont pas permis de retrouver cette espèce, seuls quelques hybrides avec l’Orchis à fleurs lâches – Anacamptis laxiflora étaient en fleurs. Reste à attendre l’an prochain pour savoir s’il faut faire une croix sur l’Orchis des marais en Loir-et-Cher…
L’Orchis élevé – Dactylorhiza elata est une orchidée sauvage qui devient de plus en plus rare, essentiellement du fait de la disparition de son milieu de vie. Dans le Loir-et-Cher, la dernière station connue ne compte que quelques dizaines de pieds.
