J’ai trouvé ces 2 vidéos qui est sont bien foutues, je pense que ça peut vous plaire aussi.
J’ai trouvé ces 2 vidéos qui est sont bien foutues, je pense que ça peut vous plaire aussi.
Depuis plusieurs mois, avec 3 autres amis photographes, nous travaillons sur le projet d’un collectif. L’idée a émérgée il y a un an, et le site internet est en ligne depuis aujourd’hui minuit. J’y présente quelques photos complétées par celles de mes comparses. Alors n’hésitez pas à y jeter un œil : http://eresus-nature.com
Un petit essai comme j’en tente quand le temps est maussade et ne donne pas envie de sortir faire des photos. Le rendu ne me satisfait pas complètement, je vous laisse juger du résultat.
[Edit] : j’ai remplacé par une version qui me convient mieux…
Un peu de paysage de Loire ce soir, avec un ciel voilé qui finalement a réservé une bonne surprise sur les tout derniers rayons du soleil.
Les petits lapins c’est toujours craquant non ?
L’Aigle royal est une espèce rare et protégée dont 3 couples nichent dans les Cévennes et sont aujourd’hui menacés par un projet touristique. En effet, il semble qu’une poignée d’élus ait décidé de créer une volerie de rapaces au Belvédère de Blandas près du Cirque de Navacelles. Les inquiétudes quant à la préservation de l’Aigle royal sont grandes parce qu’un couple niche à moins de 1000m du projet. L’Aigle royal est une espèce très territoriale et ne tolère pas d’autres rapaces autour de ses aires, l’installation d’une volerie engendrerait donc l’abandon du site par les aigles.
Informé par 2 copains qui sur place suivent ça de près pour avoir défendu pendant des années la reproduction de l’Aigle royal dans les Cévennes, je me permets donc de relayer l’information et de vous conseiller de visiter le site http://sauvegardeaigle.krea-id.fr sur lequel vous retrouverez des informations complètes et une pétition contre ce projet. Espérant que nous ne serons pas privés de l’observation majestueuse des aigles libres et sauvages dans les Cévennes…
Enfin un rayon de soleil ! C’est l’occasion de me mettre à l’eau même si une fois les waders remplis, elle s’avère encore bien fraiche…
Aujourd’hui c’est le Grèbe castagneux – Tachybaptus ruficollis qui m’a servi de sujet. Bien trop occupé à pêcher des larves de phryganes, il n’avait que faire de ma présence à ses côtés.
Quel week-end ! Si la pluie est la bienvenue pour la nature parce qu’elle avait un peu manqué jusqu’alors, il en est tout autre pour le photographe. Du coup j’ai essayé de tirer parti de la situation.
Aujourd’hui, petit tour entre les rangs de vigne de Touraine. Si habituellement ce milieu est assez désertique, les vignes exploitées en agriculture biologiques recèlent une bonne diversité de plantes. C’est même grâce à cette pratique que se maintient une station de tulipes sauvages – Tulipa sylvestris, espèce en déclin et protégée au niveau national.
Il y a longtemps que je n’ai pas poussé un coup de gueule, du moins sur mon blog et n’allez pas croire que c’est parce que tout va bien…
C’est avec l’achat il y a quelques semaines d’un Canon EOS 5dmarkII que se cumule depuis le ras le bol d’être pris pour une « vache à lait ». La photographie, tout « nature » soit elle, ne dérogeant pas aux vices de la société de consommation dans laquelle nous vivons. En effet, l’achat d’un nouvel appareil photo, qui déjà en soit est fortement incité par le marketing et les innovations distillées au compte-gouttes par les constructeurs, engendre en cascade une série d’achats supplémentaires obligatoires. Avec un nouveau boîtier, chaque fois, c’est également un nouveau grip et de nouveaux jeux de batteries qu’il faut acheter. Et oui ; à chaque boîtier son propre modèle, incompatible avec les suivants. Il ne reste qu’à mettre au placard tout l’ancien matériel devenu has been. Et question batteries, si écologiquement c’est toujours aussi polluant, nous avions les batteries no name qui étaient intéressantes puisque aussi performantes et nettement moins coûteuses que les modèles estampillés par la marque. Mais voilà, c’est fini ! Retour au monopole avec l’apparition de puces intégrées dans les batteries. Quelle innovation utile pour le photographe ! Avec ça nous pouvons savoir combien de photos sont faites avec la batterie… Le pendant de cette donnée primordiale s’il en est, c’est que le brevet des puces est bien évidemment protégé et que les batteries no name ne sont plus compatibles avec le boîtier (pour info : ces batteries fonctionnent mais le boîtier n’affichera pas le témoin de charge, il faudra donc attendre la panne sèche pour savoir où elle en est au niveau de sa charge. De plus les chargeurs d’origine ne permettent pas de recharger des no name non pucées ). (suite…)