En Haute-Loire, les eaux de La Beaume entaillent le basalte du plateau avant de chuter 27 mètres plus bas.
En Haute-Loire, les eaux de La Beaume entaillent le basalte du plateau avant de chuter 27 mètres plus bas.
Le concours « Nature Treasure in Europe » organisé par EuroNatur vient de divulguer ses résultats au sein duquel figure une de mes images, elle fait partie des 38 images retenues parmi les 1 550 reçues. Il s’agit d’une guifette, mais je ne sais pas laquelle en ayant envoyé plusieurs… C’est pour moi une première, car bien qu’ayant participé à 2 reprises à ce concours, je n’avais encore pas eu le privilège de figurer parmi les gagnants.
La pluie de ces derniers jours est une bénédiction pour les batraciens qui en profitent pour faire de petites balades. Une belle occasion de croiser la Salamandre tachetée – Salamandra salamandra qui se fait d’habitude si discrète. Et n’oubliez pas de faire attention sur les routes la nuit quand il pleut, les écrasements restent une importante cause de régression des batraciens.
Canton suisse frontalier de l’Italie, le Tessin offre assurément des paysages helvétiques atypiques. L’influence méditerranéenne est bien présente et la température plutôt élevée. Dans ces conditions, les vallées dont les rivières se jettent dans le lac Majeur sont non seulement photogéniques mais également très rafraichissantes.
Le Flamant rose – Phoenicopterus roseus reste une espèce fascinante tant par sa couleur que par la grâce de ses déplacements. Ils illuminent les paysages lacustres du sud de la France et particulièrement de la Camargue pour le plus grand plaisir des photographes.
L’exposition collective Afrique Terre de Couleurs à laquelle je contribue sera présentée du 18 juin au 3 juillet à Dol-de-Bretagne (35) dans le cadre du Mois International de la Photographie Éclectique. Retrouvez toutes les infos sur http://mipe2011.blogspirit.com. Je ne serais pas présent, mais vous pourrez y (re)voir quelques unes de mes photos sur la forêt vierge gabonaise.
L’Orchis sureau – Dactylorhiza sambucina est une orchidée des prairies de montagne qui possède la particularité d’être soit jaune soit rose mais la forme jaune reste souvent très majoritaire.
Le 11ème concours international de la photo nature de la Réserve Naturelle de Séné vient de divulguer ses résultats. Le thème de l’année était « l’amour dans la nature », et j’ai le plaisir d’avoir 2 images finalistes qui seront présentées dans l’exposition visible à partir du 8 juin et jusqu’à fin août au Centre Nature de la Réserve Naturelle des Marais de Séné. Toutes les informations sur le site de la Réserve : http://www.sene.com/reserve-naturelle.
Accouplement de la Mégère et du Satyre
En début de mois, se tenait à Niigata au Japon l’exposition collective organisée par l’IEPA (International Environment Photograph Exhibition) à laquelle je contribuais. Bien que l’exposition se déroulait à proximité du drame qui a touché le pays le 11 mars dernier, ce sont plus de 5 000 visiteurs qui sont venus voir cette exposition mondiale « des photographes qui aiment la Terre ». Une collecte organisée pendant l’exposition a permis de recueillir près de 1 500 € au profit de la Croix Rouge japonaise pour les victimes des catastrophes. L’exposition axée sur les richesses et les menaces qui pèsent sur la nature prenait en ces circonstances une dimension toute particulière qui a fait réfléchir les visiteurs. De nouvelles villes devraient prochainement accueillir à leur tour cette exposition à travers le Japon.
Les orchidées dans la nature s’hybrident assez facilement, certains genres plus que d’autres, ce qui rend parfois la détermination difficile. Mais il est beaucoup plus rare de croiser un hybride inter-générique. C’est en Provence que j’ai rencontré mon dernier, il s’agit d’un hybride entre l’Orchis peint – Anacamptis picta et le Sérapias négligé – Serapias neglecta. Le résultat de cet hybride est étonnant et très esthétique.