Je me suis essayé à photographier quelques torrents de montagne dans les Alpes, en voici le résultat.
Bonneval-sur-Arc
Bonneval-sur-Arc
Col de l’Iseran
Col de l’Iseran
Je me suis essayé à photographier quelques torrents de montagne dans les Alpes, en voici le résultat.
Bonneval-sur-Arc
Bonneval-sur-Arc
Col de l’Iseran
Col de l’Iseran
C’est la question qui est encore une nouvelle fois soulevée dans le milieu de la photographie à la lecture de la proposition de modification des statuts du Parc National de la Vanoise.
Les nouveaux statuts prévoient en effet d’obtenir l’autorisation du Directeur du Parc et de s’acquitter d’une redevance pour les photographes professionnels comme amateurs dès lors où leur œuvre a un but commercial. Cette clause concerne donc tous les photographes qui publient dans des magasines ou collaborent avec des agences photos… (suite…)
L’étang du Louroux est un des étangs les plus intéressants d’Indre-et-Loire. Acquis par le Conseil Général, il est classé en Espace Naturel Sensible.
L’an dernier, j’avais pu faire un reportage sur le site troglodyte d’Ethni’Cité à Saint-Rémy-sur-Creuse dans la Vienne. Les images ayant servies à l’illustration du site de l’association : http://www.ethnicite.fr.
Cette année, outre des cartes postales présentant le site, j’ai édité un poster du village, il est disponible à la boutique d’Ethni’Cité.
Pour la deuxième année consécutive, j’ai le plaisir d’avoir une photo sélectionnée au concours du Festival International de la Photographie Animalière de Montier-en-Der. Je mettrais la photo en ligne plus tard sur mon blog, je garde un peu de supens pour le moment. Sachez qu’elle s’intitule « Abstraction de pins, ce qui laisse présager du sujet et du style d’image.
Ce concours est un évènement majeur dans le monde de la photographie animalière, cette année ce sont pas moins de 5732 photos provenant du monde entier qui ont été réceptionnées et qu’il a fallu départager pour n’en garder que 62 qui formeront l’exposition du festival.
Les jeunes grenouilles commencent à émerger. Finissant leur phase aquatique sous la forme de têtard, elle vont entamer une nouvelle vie terrestre. Les jeunes Rainettes arboricoles – Hyla arborea sont déjà toutes sorties de l’eau et se cache dans la végétation environnante.
Les grenouillettes de Grenouille verte – Rana lessonae sont quand à elle encore dans l’eau, bien qu’ayant déjà la forme d’une grenouille, certaines gardent encore provisoirement leur queue de têtard.
Dar beïda, ou plutôt Casablanca en français, se situe sur la côte Atlantique. C’est la plus grande ville du Maroc, et elle porte bien son nom avec toutes ses maisons traditionnelles aux murs recouverts de chaux. La ville mélange modernité, avec ses immeubles bancaires et ses hôtels de luxes, et tradition avec ses quartiers anciens encore préservés.
La grande mosquée Hassan II, il s’agit de la 3ème plus grande mosquée du monde
La place Mohammed V et ses porteurs d’eau
La médina des Habbous est un village dans la ville. On y trouve le marché alimentaire, mais aussi le souk aux tapis, le quartier des vêtements (ganouras, sarouals, jabaddors et babouches), les ferronneries spécialisées dans le travail du cuivre et des ruelles pleines de charme.
Le séjour en Vanoise était l’occasion de rephotographier les orchidées de montagne que je n’avais qu’en argentique. Les alpages sont très riches en espèces et malgré le retard de floraison, presque toutes étaient au rendez-vous.
Voici un petit aperçu :
Racine de corail – Coralorrhiza trifida
La saison pluvieuse a été, cette année encore, dommageable pour la nidification des Lagopèdes alpins – Lagopus mutus. Cela fait deux années consécutives que la reproduction est mauvaise pour l’espèce, ce qui fragilise encore un peu plus des populations déjà menacées. L’observation discrète de l’oiseau en Vanoise reste donc toujours un moment particulier.
Les jeunes ragondins commencent à s’émanciper…
Le Busard des roseaux, ou plutôt « la » puisqu’il s’agit d’une femelle, ne manque pas de réguler les population en prélevant sa part.