Pour ceux qui passent du côté de Nogent-sur-Vernisson (45), je participe à une exposition photo à l’arboretum des Barres jusqu’au 15 mai : plus d’informations
Pour ceux qui passent du côté de Nogent-sur-Vernisson (45), je participe à une exposition photo à l’arboretum des Barres jusqu’au 15 mai : plus d’informations
Les lapins sont toujours attendrissants à observer et constituent des sujets photos attendrissants. Je me suis essayé à quelques images sur une garenne de bords de Loire.
Les reptiles sont souvent mal aimé et pourtant la plupart sont inoffensifs. C’est notamment le cas de cette Couleuvre verte et jaune – Coluber viridiflavus que j’ai eu la chance de croiser hier. Facilement reconnaissable à sa grande taille et à sa couleur, cette couleuvre est une espèce plus courante au sud de la Loire qu’au nord, on la rencontre fréquemment sur les coteaux calcaires à la recherche d’orchidées sauvages.
Un petit tour dans les marais atlantiques et au final assez peu d’images, mais voici une vue de la Brière.
Le Rougegorge est un oiseau facile à observer parce qu’il vit à proximité des maisons. Son identification est simple, ce qui en fait l’oiseau le plus connu de tous.
En photographiant les Anémones pulsatilles, je me suis essayé à saisir quelques gouttes d’eau. Le support des anémones offrant de superbes couleurs de fond.
Je continue la série des orchidées sauvages. Après les Ophrys, ce sont maintenant les Orchis bouffon – Anacamptis morio qui commencent à pointer le bout de leur fleurons. La floraison n’en est qu’à son tout début mais déjà quelques pieds constituent de bons sujets de photos.
Un petit tour dans les grattis de lapins sur sables calcaires m’a permis de faire quelques rencontres avec des plantes pionnières. Elles ont souvent pour point commun d’être petites, ce qui ne facilite pas la prise de vue. Mais le sable qui est ici ferreux offre une belle coloration rouille pour les arrières plans.
Fumeterre officinale – Fumaria officinalis
La Tulipe sylvestre (Tulipa sylvestris ssp. sylvestris) fait partie de ces trop nombreuses plantes dépendantes de pratiques agricoles extensives et qui sont en voie de disparition. Elle est d’ailleurs protégée au niveau national. C’est dans un vignoble de Touraine qui se nichent encore quelques pieds au milieu de vignes exploitées en agriculture biologique. Saluons la démarche de ce viticulteur qui concilie son activité économique à la sauvegarde du patrimoine naturel et des traditions.
Hier avait lieu le vernissage de l’exposition à la Méli d’Issoudun.
Le matin, l’aide précieuse des membres du club photo a permis d’installer les 30 cadres dans le hall de la Méli et de régler l’éclairage de mains de maitres. Je profite de l’occasion pour adresser à nouveau mes remerciements à tous les membres qui m’ont aidé et je reste épaté par les ingéniosités développées par les uns et les autres pour perfectionner la présentation de l’exposition.
Après quelques déboires, et un repas copieux, nous avons poursuivi la journée par un récit de voyage illustré sur le thème du Gabon puis un tour commenté de l’exposition. L’occasion d’échanger des techniques et astuces avec d’autres passionnés.
Enfin le soir, un public nombreux est venu au vernissage pour admirer les différentes expositions présentées. Je n’ai malheureusement pas pu prendre le temps suffisant pour regarder l’ensemble des photos présentées par les membres du club, le peu que j’en ai vu montrait toutefois des visions différentes des uns et des autres et un travail de qualité.